Ce qui manque souvent, c’est une analyse dépassionnée, froide et lucide du réel (…) toutes ces nominations expriment la même détermination d’imposer, au niveau domestique comme au niveau international, la stratégie parfaitement visible et prévisible définie par Donal Trump. (…)Pour en rester au niveau domestique, « America First », cela veut dire écarter tout ce qui gêne la puissance américaine. En particulier les obstacles dressés contre la croissance non seulement par la bureaucratie, les réglementations, les impôts et la concurrence déloyale étrangère, mais aussi par l’insécurité, car investir est incompatible avec le crime et les délits, et par l’immigration clandestine qui crée des charges économiques et de l’insécurité. (…) C’est du pur réalisme en relations internationales où les valeurs ne sont pas au centre, comme la liberté, les droits de l’homme, la situation des femmes, celle des minorités., la démocratie pluraliste…Seule compte la puissance (…) ans s’embarrasser d’experts en psychologie trumpienne. « America first », cela veut dire reprendre les alliances pour la puissance. En particulier avec le Japon et l’Inde, dont Trump a salué la « free road » qui vise à se libérer de l’encerclement économique chinois, mais aussi avec le monde arabe, en particulier avec son allié privilégié l’Arabie Saoudite…l s’agit, d’un côté, d’abattre les mammouths étatistes, les règlementations de la dite « transition écologique » et l’idéologie wokiste qui lui est liée, et, de l’autre, de développer le nerf de la puissance aujourd’hui, que sont les nouvelles technologies, la robotique et l’intelligence artificielle. Libérer l’innovation, est le credo de la puissance. Voilà pourquoi Elon Musk, patron de Tesla et de X, l’ancien Twitter, a été nommé à la tête d’un ministère au nom inconnu jusque-là, celui de l’ « efficacité gouvernementale ». Et, on l’oublie trop souvent, avec lui est nommé un autre chef d’entreprise, Vivek Ramaswani. Ce milliardaire est moins connu du grand public et c’est dommage car ….
Donald Trump n’est ni le président du repli, ni celui de l’isolationnisme : une incompréhension
En vérité, le courant incarné par Donald Trump est protectionniste pas isolationniste. C’est une différence considérable. Loin de vouloir le repli américain, il veut mener une offensive pour accroître la puissance américaine et son influence dans le monde. Car ce n’est pas la mondialisation qu’il combat mais le mondialisme qui fait du développement des échanges le seul critère de jugement sans souci de la puissance nationale et de son identité…. Pour la même raison, il est opposé à l’étatisme. Il juge que la bureaucratie pompe les richesses du pays et freine la croissance en prétendant l’encadrer.
Présidentielle américaine 2024 : l’étrange cécité française
Publié le 3 novembre 2004. cliquer ici Voici quelques réflexions (trop rapides) sur les élections présidentielles américaines… Je commencerai en avouant que l’étrange cécité de plusieurs médias français ne cesse de m’amuser. Puisque les journalistes français ne votent pas aux Etats-Unis et puisqu’à ma connaissance ils n’y ont aucune influence, on aurait pu imaginer les …
Épisode 8: Célébrer en écologiste le mode de vie à la françaiseÉpisode 8:
29 février 2024, sur : atlantico Conclusion : Célébrer en écologiste le mode de vie à la française Et je ne connais pas de mode de vie plus écologiste que celui du mode de vie à la française sur lequel j’ai écrit naguère un livre. Un mode de vie qui est lié à une révolution éthique …
Épisode 7: Réarmement moral : la fable de la France industrielle coupable d’esclavagisme et d’autres maux de l’humanité
Faut-il accepter la culpabilisation ? Cette formidable expansion de la France depuis la révolution industrielle se serait-elle faite à coups d’esclavagisme et d’exterminations ? Et faudrait-il maudire son histoire et soi-même ?
Non ni la France, ni l’Europe industrielle et le capitalisme n’ont inventé l’esclavagisme, le colonialisme, l’impérialisme, l’oppression des individus selon leur race ou leur sexe.
C’est le contraire. Ainsi, comme je le démontre dans mon livre, toutes les sociétés, oui toutes, ont pratiqué le colonialisme, et l’esclavagisme depuis les premières sédentarisations, de Sumer aux empires des grands lacs africains, de la Chine aux empires arabes et turcs.
Épisode 6. Course à la croissance, course pour la vie
Non, le capitalisme et la course à la croissance ne menacent pas l’humanité et ne conduisent pas à plus de misère et d’injustice.
C’est le contraire.
Épisode 5. La fable des énergies alternatives renouvelables, durables et gratuites et de la forêt productrice d’oxygène
Certes le vent est renouvelable, durable et gratuit mais pas les éoliennes.
Elles ne se reproduisent pas, donc non renouvelables. Elles ont une durée de vie de 20 ans dans le meilleur des cas, bien moins que des moulins à vent, donc non durables. Non seulement elles coûtent cher mais elles ne sont pas rentables, c’est pourquoi il faut les financer. Et quand après avoir tourné à 21% de leur temps d’usage pour celles qui résistent aux intempéries, il faut les enlever, cela coûte encore, c’est pourquoi 30 000 rouillent aux Etats-Unis.
Quant à éviter le fameux CO2 et la pollution, cela fait rire.
Épisode 4: La fable de l’épuisement de ressources de la nature
L’un des prétextes majeurs donnés par les obscurantistes pour justifier leur attaque contre la croissance et vendre leur « transition écologique » est la fable d’une humanité qui détruirait la planète en épuisant ses ressources. Ce qui alimente la dépression morale de l’occident coupable de faire brûler, et en plus, d’épuiser Cosette.
Épisode 3. La fable des gaz à effet de serre et l’officine de dépression du G.I.E.C.
La dépression de la jeunesse est alimentée chaque jour par des affabulations sur les fameux gaz à effet de serre ! J’allais dire fumeux, non sans raisons, car je pense à la vapeur d’eau.
Car non ! le CO2 n’est pas le principal gaz à effet de serre. Le principal, est la vapeur d’eau, de 65 à 80%, 90% même lors de certaines éruptions volcaniques.
Épisode 2 : Défi climatique, illusion idéologique
On connaît la chanson. Il y aurait un déséquilibre de l’écosystème planétaire, dû à un réchauffement climatique jamais vu, arrivé avec une rapidité jamais connue, qui serait lui-même dû aux Gaz à effet de serre, eux-mêmes dus au CO2, lui-même dû à l’humanité, à sa croissance et au capitalisme.
Or, tous les termes de cette équation, je dis bien tous, sont scientifiquement faux.
Épisode 1. Écologie positive: les enjeux pour la France.
a France subit de plein fouet une vague idéologique sans précédent depuis la chute du mur de Berlin, sous le prétexte d’une crise climatique et énergétique. Une vague qui emporte la France dans les 3 D, la défaite de la pensée, la dépression morale, la décadence nationale.
Présentation des 8 épisodes. Écologie positive : une stratégie de progrès, de croissance et de puissance pour le retour de la France
En 8 épisodes, publication de ma conférence » Écologie positive : une stratégie de progrès, de croissance et de puissance pour le retour de la France », prononcée pour la formation du parti #LR Épisode 1: les enjeux. Épisode 2: défi climatique, défi idéologique ». Épisode 3: La fable des gaz à effet de serre et l’officine …
Inquisition à Wikipedia! Censure et vandalisme de la page « Yves Roucaute » avec interdiction d’intervention pour me punir d’avoir écrit L’Obscurantisme vert, la véritable histoire de la condition humaine
L’inquisition…pour avoir écrit L’Obscurantisme vert, la véritable histoire de la condition humaine Surprise en decouvrant la page qui m’est consacree sur Wikipedia, à la suite de l’appel d’un ami. Il est vrai que je ne l’ai pas regardee depuis quelques mois et que je m’en preoccupe peu. Je constate que 90% du texte precedent a …
« Je vois dans la besace du chasseur plus que du gibier, la liberté à l’œuvre »
Publié dans « Jours de chasse », décembre 2022
Conférences Rotary
Conférence au Rotary Club de Paris le 21 septembre 2022 sur L’Obscurantisme vert, la véritable histoire de la condition humaine