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Épisode 4: La fable de l’épuisement de ressources de la nature

II. 1. La fable de l’épuisement de ressources de la nature

L’un des prétextes majeurs donnés par les obscurantistes pour justifier leur attaque contre la croissance et vendre leur « transition écologique » est la fable d’une humanité qui détruirait la planète en épuisant ses ressources. Ce qui alimente la dépression morale de l’occident coupable de faire brûler, et en plus, d’épuiser Cosette.

Cette fable est celle des bobos ignorants et insensibles la souffrance humaine, en particulier populaire.

Non, rien ne justifie ni la décroissance, ni même la sobriété.

Il n’y a aucun risque d’épuisement de l’énergie car celle-ci est inépuisable. Et, oui, il est temps de rendre obligatoire les cours de physique, de chimie, de biologie pour tous jusqu’en terminale et dans les écoles de journalisme afin de sauver les esprits de l’ignorance et de reprendre le chemin des Lumières en saluant le bel avenir de l’humanité comme j’ai tenté de le faire dans ce livre et le précédent, qui s’appelait précisément Le bel avenir de l’humanité, et qui avait conduit à relancer la collection de Raymond Aron, l’Esprit libre, aux éditions Calmann-Lévy.

Pour vendre leur fable, les obscurantistes distinguent les réserves, ce qui est exploitable et connu, des ressources qui seraient toutes les énergies fossiles dont la terre disposerait mais que l’on n’exploite pas maintenant. Et, hop ! à chaque fois que l’humanité exploite une ressource, il y en aurait moins. Déprimons, et sauvons la planète. D’où cet appel à préserver, à recycler, à freiner la consommation et à ces prières devant le simulacre d’énergies alternatives, qui, elles, ne s’épuiseraient pas et n’épuiseraient pas Gaïa-Cosette.

Mais, d’abord, chers amis, quel est donc ce diable vert qui nous empêcherait de découvrir de nouvelles ressources et d’augmenter les réserves par leur meilleure exploitation ?

Ainsi, s’agissant des seules énergies fossiles, le G.I.E.C. alertait sur leur épuisement en 2010, montrant du doigt les réserves de pétrole estimées alors à 1025 milliards de barils. Les réserves sont estimées aujourd’hui à 1800 milliards en 2020 et on en découvre tous les jours comme dernièrement des gisements monstrueux en Chine et en Côte d’Ivoire.

Cela vaut aussi pour le gaz naturel liquéfié et le gaz naturel comprimé, qui ne pollue pas, pour les sables bitumineux ou le schiste présent jusqu’en offshore profond. La seule huile de schiste représente 15 à 20 % des réserves du pétrole. Un bonheur pour les plus grandes puissances, comme les États-Unis, premiers producteurs de gaz, grâce au schiste qui leur a assuré la souveraineté énergétique

Et, surtout, on sait maintenant en produire artificiellement à partir des biotechnologies et des nanotechnologies. Par exemple, les biotechnologies que l’on appelle « blanches », en produisent à partir des cyanobactéries de la mer : on construit des micro-organismes artificiels capables de produire des hydrocarbures (alcanes, propane, nonane…) et de l’hydrogène.

On peut aussi en produire à partir du tournesol, du colza, de la betterave…

Oui, même cette énergie fossile n’est pas en voie d’épuisement.

Mais surtout, ces idéologues ignorent que toute l’histoire de l’humanité démontre que nous augmentons notre puissance en inventant de nouvelles façons de dominer la nature pour en extirper ses richesses infinies.

Car si la planète est difficile à vivre pour l’humanité, elle est aussi une caverne d’Ali Baba que nous pouvons exploiter et dont nous venons seulement d’ouvrir la porte.

Cela d’abord parce qu’elle n’est pas un être vivant. Elle est composée d’atomes eux-mêmes composés de particules élémentaires, les quarks, les leptons et les bosons, selon les 4 types d’interaction fondamentales qui régissent l’univers.

Donc autour de nous, il y a une énergie infinie que nous commençons seulement à exploiter.

Oui, des atomes partout.

Clairement, nous en sommes au début de l’exploitation de l’énergie atomique qui ne se résume pas, et de loin, à l’industrie nucléaire.

Parlons d’abord de celle-ci.

Une centrale de 1450 MW équivaut à 10 000 éoliennes, excusez du peu.

Devant cette manne infinie offerte par les atomes de la nature, la Chine, les USA et bien d’autres pays ont intensifié leurs investissements.

Au lieu de l’uranium, la Chine a lancé dans le désert de Gobi la première centrale à sels fondus au thorium. Et tous les labos travaillent sur la fusion nucléaire, au lieu de la fission, sans déchets radioactifs et avec du deutérium quasi inépuisable et du tritium.

Où en est la France qui était un pôle-position sur le nucléaire ? La France idéologisée à fait fermer Fessenheim, Elisabeth Borne ayant même prétendu le faire au nom d’une écologie de responsabilité. Et nombre de centrales ont été arrêtées

Le modèle des idéologues c’est celui de l’irresponsabilité allemande qui a réussi ce magnifique coup de génie vert de devenir dépendante de la Russie, d’avoir dû relancer l’exploitation du charbon et d’avoir troqué la course à la croissance contre la course à la récession, la première de son histoire, menaçant d’entrainer l’Union européenne dans une même déconfiture verte. 

Et la France ? Après ses tergiversations, le gouvernement français semble revenir à plus de bon sens. Donc au nucléaire. Mais que de temps perdu ! Et il est resté « en même temps », dans l’idéologie obscurantiste.

Et que d’investissement pour des moulins à vent, alors que la seule intelligence artificielle, sinon les périodes de grand froid et le développement industriel, exigent une consommation d’énergie à laquelle il faut répondre au plus vite, et à laquelle seul le nucléaire, sous toutes ses formes, jusqu’aux petits réacteurs modulaires, peut répondre.

Mais l’industrie nucléaire est l’arbre qui cache l’entrée de la caverne d’Ali Baba. Utiliser les atomes, ce n’est pas que le nucléaire.

Parlons des nanotechnologies. À partir des atomes voilà une production sans déchets inépuisable qui ouvre des possibilités d’innovations infinies.

Par exemple, au lieu de faire la chasse au carboné, on a ainsi créé du graphène à partir des atomes de carbone, ce qui crée des produits plus légers que l’acier mais 10 fois plus résistants. Bon conducteur du courant et transparent, il peut remplacer l’oxyde d’étain et même dessaler la mer.

Nous en sommes au début de l’explosion des innovations nanotechnologiques. Production et stockage de l’énergie, ordinateurs quantiques, nanomatériaux, nanobiologie, moteur biométrique, microfibres, micro-plastiques, nanofils, nanoplots, nanotubes de carbone.

Un monde merveilleux pour traquer la souffrance et la mort. Songez à ces nanorobots qui traquent les cellules cancéreuses. L’explosion est en marche avec un chiffre d’affaires qui suit.

Utiliser l’infiniment petit, c’est aussi parler des biotechnologies.

À partir des micro-organismes vivants, comme les bactéries, voilà une production à l’horizon inépuisable dans l’énergie, l’agriculture, la santé, l’industrie, l’exploitation sous-marine dont nous n’exploitons pas 1% des ressources. Oui 1% seulement et songez que dans un millilitre d’eau de mer, il peut y avoir jusqu’à plusieurs millions de cellules bactériennes,

Plus de 1224 milliards de dollars en chiffre d’affaires l’an dernier pour les biotechs, et près de dix fois plus prévus d’ici 2030.

Mais où est la France ? La France bureaucratique et idéologisée perd chaque année des places. Hier 11ème, aujourd’hui 12me dans le monde et moins de 1% de la capitalisation mondiale, à la 7ème place seulement en Europe, 2 fois moins que le seul État du Maryland, 20 fois moins que le Massachussetts où il y a 10 fois moins d’habitants.

Parlons-en de l’hydrogène, comment pourrait-il être épuisé ? Il compose 75%, de l’univers, est-ce rien ? Il est partout présent sous une forme simple ou associée dans des molécules, dans l’air, l’eau, les hydrocarbures…  On en découvre tous les jours des gisements sous forme simple et on peut chaque jour en produire plus, par exemple en l’extirpant des molécules d’eau.

Ce qui produit en effet des gaz à effet de serre en masse, mais rien d’inquiétant, sauf pour ceux qui fantasment sur la destruction de la planète pour apeurer le gogo.

Et parlons-en même du C02.

C’est une molécule pas un esprit mauvais sorti de l’humanité.

Elle est composée d’atomes de carbone et d’oxygène.

Des atomes ? Chouette. Donc, elle peut être décomposée et utilisée comme source d’énergie pour l’humanité ? Oui, et même source d’oxygène.

À l’horizon, il ne s’agit plus seulement de diminuer ou de capter de CO2, mais d’utiliser l’énergie de cette molécule qui existait la plupart du temps avec des taux supérieurs avant l’humanité, et qui existerait quand bien même nous ne serions pas là.

Comme le fait notre magnifique fleuron d’Air liquide qui utilise les particules de CO2 dégagées par l’exploitation de l’hydrogène pour des applications dans l’agroalimentaire. Et c’est ce que l’on fait, à partir de particules d’oxyde de cuivre par exemple, on crée de l’oxygène et du méthanol. À partir de microorganismes on crée de la photosynthèse artificielle pour produire de l’oxygène. Des centaines de procédés sont connus et nombre d’entreprises se sont lancées dans l’aventure. Je donne de nombreux exemples dans le livre.

Il y a des pollutions me dit-on. Et les sciences se trompent parfois.

C’est vrai.

Que les sciences se trompent, c’est même une règle. L’humanité avance par essais et erreurs depuis le paléolithique. Il n’y aurait pas eu Einstein sans Newton, et pas Newton sans Aristote. Et s’il n’y avait pas eu la pénibilité de l’extraction et de la transformation, il n’y arait pas eu la robotique.

Et c’est dans cette possibilité même de voir les erreurs et de les dépasser, que l’on distingue l’idéologie des sciences.

Car l’idéologie, elle est infalsifiable.

Quoi qu’il arrive, elle efface l’histoire réelle, pour vendre son modèle alternatif, sa transition socialiste-écologiste. S’il fait froid, il ne fait pas froid, s’il fait chaud, il n’a jamais fait aussi chaud. Il a fait un temps morose cet été dans l’hémisphère nord, comme l’ont constaté tous ceux qui ont pris leurs vacances dans le nord ou l’Est de la France et il a même neigé en Allemagne ? Et il a fait aussi chaud durant l’été 2022, que durant celui de 1947 ? Non, il n’a jamais fait aussi chaud, vous dit-on, mélangeant températures des tropiques, de l’équateur et de saint Tropez.

De même, à cause du capitalisme et de la croissance, il n’y aurait jamais eu autant de cyclones, alors que c’est faux. Le trou de la couche d’ozone augmenterait avec le réchauffement, alors que c’est faux. Les tsunamis même seraient d’origjne humaine car Gaïa serait mécontente.

Alors, oui il y a des pollutions. Oui, il y a aussi de la détresse sociale. Mais non, je n’en tire pas la conséquence qu’il faudrait acheter les solutions idéologiques marxistes ou celle des Verts.

La science et l’écologie fondée sur les savoirs, elles, acceptent les erreurs.

Loin de nier les pollutions par exemple, parfois nées des sciences elles-mêmes, au lieu de prôner le retour en arrière, de freiner les sciences, le camp du progrès libère la créativité humaine.

Par exemple, les biotechnologies jaunes traquent les pollutions. Des bactéries sont développées pour nettoyer les égouts, s’empiffrer de nitrates qu’elles transforment en azote, ou de molécules de pétrole qu’elles transforment même en protéines, des champignons pour dévorer le plastique.

S’il y a trop de CO2, de méthane ou d’autres molécules qui menacent la vie, alors elle tente de les limiter dans les espaces où cela se peut.

Oui, toujours plus d’innovations, et, pour les financer, toujours plus de croissance.

Car c’est en avançant que l’on franchit les obstacles, pas en reculant.

Et la véritable écologie est celle de la responsabilité, celle des lumières contre l’obscurantisme.

Et c’est la condition d’une vraie justice sociale, celle qui permet une vie meilleure pour tous, en particulier les plus démunis.

Mais au lieu d’aider l’innovation, on corsète les entreprises par des taxes et des règlementations, et on finance par les impôts les fameuses énergies prétendument alternatives.

Épisode 3. La fable des gaz à effet de serre et l’officine de dépression du G.I.E.C.

1.2. La fable des gaz à effet de serre et l’officine de dépression morale du G.I.E.C.

La dépression de la jeunesse est alimentée chaque jour par des affabulations sur les fameux gaz à effet de serre ! J’allais dire fumeux, non sans raisons, car je pense à la vapeur d’eau.

Car non ! le CO2 n’est pas le principal gaz à effet de serre. Le principal, est la vapeur d’eau, de 65 à 80%, 90% même lors de certaines éruptions volcaniques.

Ce qui laisse pantois cette prétendue transition écologique quand elle développe des industries comme celles qui sont liées à l’hydrogène, auxquelles je suis favorable mais pas pour les mêmes raisons. Car elles produisent un maximum de vapeur d’eau. Donc de G.E.S. elels produisent du cO2 aussi d’ailleurs, mais passons.

Pire encore : oui, la véritable écologie dit vive les gaz à effet de serre ! Car ils sont indispensables à la vie.

Sans eux nous mourrions immédiatement de froid. Songez que l’on a même eu 3 situations de terre absolument gelée sur cette planète, comme une boule de glace, qui ont duré plusieurs centaines de millions d’années faute de gaz à effet de serre.

Sans eux nous mourrions aussi sous l’effet de certains rayonnements solaires comme les rayons gamma et les rayons X.

Trop de gaz à effet de serre tue, pas assez aussi. Et, hélas, seul l’orgueil peut faire crorie que nous pouvons bouger l’angle de la planète ou arrêter les volcans et séismes.

Et le maudit CO2 ? Faut-il chasser le carboné ?

La chasse est ouverte. Ce qui est drôle. Car le carbone est indispensable à la vie. Pour les humains, il représente d’ailleurs 18,5% du corps.

Et le  CO2, il n’a rien de maléfique. C’est une molécule composée de 2 atomes de carbone et d’un atome d’oxygène. Ce qui au passage est évidemment intéressant car cela signifie que, puisqu’il est composé, il est aussi décomposable par l’industrie.

Son pourcentage est-il dangereux aujourd’hui ? Non. Il représente 0,0415% dans l’atmosphère respiré, soit 415 ppm.

Faut-il désespérer de le voir monter à 416 ou 420 ? Une Galéjade. Il y en aurait même dix fois plus qu’il n’y a aucun risque pour la santé.

Est-il exceptionnel à cause de l’humanité ? Une autre galéjade. Hors glaciations, depuis 541 millions d’années, excusez du peu, la moyenne du CO2 est de 3000 à 7000 ppm, soit près de 8 à 17 fois plus qu’aujourd’hui !

Quant au réchauffement qui en dépendrait mécaniquement…Il y eut même au début de certaines glaciations des taux de CO2 supérieurs à 4500 ppm.

Et la part de l’humanité ? Certes, l’humanité en produit, y compris quand elle respire. Mais nul n’est capable de dire sa part dans les GES entre la vapeur d’eau, le CO2 et tous les autres éléments des GES.

Une chose est certaine, elle est infime, sinon nous n’aurions pas ce taux si faible et ces températures si modérées eu égard à l’histoire de la planète avant que l’humanité n’apparaisse.

Mais puisque la culpabilité humaine et la responsabilité du capitalisme et de la croissance est vendue tous les jours au nom des rapports prétendument scientifiques du G.I.E.C., un mot sur le G.I.E.C.

Chacun de leur rapport est regardé comme un évangile au lieu d’y voir une parodie comique, ce qui est curieux.

Créé en 1988, voilà un groupe de 34 personnes dont le but officiel est de montrer la responsabilité humaine dans le réchauffement. On ne peut être plus neutre.

Ces experts sont nommés par les chefs d’État et de gouvernement, ce qui serait, me dit un expert en stalinisme, un gage de scientificité. Ainsi, le dernier Président qui s’était découvert une vocation d’économiste de l’écologie après des études de Lettres, avait été nommé par son frère, le premier ministre de Corée. Oui, un gage de scientificité.

Ces experts en climatologie, science qui, par ailleurs, à la différence de la météorologie, n’existe pas, utilisent, pour leurs rapports, ceux des associations militantes, des centres de littérature et de sciences humaine écologistes, et quelques instituts en énergies dites alternatives.

Cela donne de jolis graphes colorés et de splendides prédictions de catastrophe que reprennent certains médias qui savent l’audience des films catastrophe.

Ce qui est drôle c’est que, systématiquement, toutes leurs hypothèses se révèlent fausses quand elles sont précises.

Ainsi, lors du premier rapport, celui de 1990, parmi les prévisions, les eaux allaient monter de 6cm par an, des îles allaient disparaît comme les Îles Marshall, de quoi alimenter les caisses écologiques par les riches américains apeurés qui y ont des propriétés, la crise agricole allait détruire le Brésil, le Chili, le Pérou… Le niveau des mers a-t-il monté de près de 2 m ?

Qu’importe, l’air de catastrophe permet d’avoir des voix, de l’audience et des subventions, c’est donc plaisant. Je pourrais m’amuser ainsi sur chaque rapport. Dès qu’une hypothèse est précise, hop ! la réalité prouve qu’elle est fausse.

Celui de 2007 est l’un des plus désopilants. Il prévoit, avec plein de graphes encore, pour 2020 ; un réchauffement jamais vu depuis 650 000 ans. L’Afrique verrait 75 millions à 250 millions de personnes mourir de faim ou de soif, 50% de l’agriculture fluviale serait détruite, l’Asie serait submergée par des problèmes d’eau, avec montée de la mortalité et de la morbidité, les rendements agricoles allaient baisser vertigineusement et les fameuses îles des milliardaires américains seraient sous l’eau…

Dans ces rapports, tous les montages sont bons pour donner au spectateur sa dose de stress. Ainsi, pour nier l’influence des volcans dans les Gaz à effet de serre, ils utilisent les travaux de Terrance Gerlach qui ont décrété que seuls méritent leur attention une cinquantaine de volcans. 50. Ils effacent donc 1500 volcans terrestres et 1,5 million de volcans sous-marins. Puis, ils écartent la vapeur d’eau, l’anhydride sulfureux, le monoxyde de carbone, le sulfure d’hydrogène, le méthane… Et hop ! les volcans bien choisis produisent seulement 250 millions de tonnes de CO2 par an. Moins que la respiration des humains, donc négligeable. Quand l’on songe que la troisième éruption du Krakatoa, en 1883, équivalait à 13 000 bombes d’Hiroshima, ou celle du mont saint Helens, en 1980, à 1600 Hiroshima, avec les coulées de laves de 800 °C. à plus de 800 km/h, vitesse non autorisée, leurs gaz dont la vapeur d’eau, on applaudit la fable.

On invente de même des cyclones toujours plus nombreux alors qu’ls ne le sont pas, une couche d’ozone qui augmenterait avec le réchauffement alors qu’elle augmente avec le refroidissement, des séismes qui seraient miraculeusement comme les volcans, non producteurs de gaz à effet de serre…etc

Que l’on prenne au sérieux ces rapports et leurs conseils de « transition écologique », surtout en Occident car l’Orient est plus réaliste, est pour le moins curieux, sinon symptomatique d’une crise profonde et du recyclage réussi des ex-rouges qui ont raté la révolution mais ne veulent pas rater la destruction de notre modèle de développement occidental.

« L’obscurantisme vert, la véritable histoire de la condition humaine »

Aux éditions du cerf. Cliquer ici.

Sauver la planète ? Sauver l’humanité, voilà l’urgence pour le philosophe Yves Roucaute !

Aux obscurantistes verts qui font grand commerce de l’idolâtrie, de la culpabilité et de l’apocalypse, il oppose les faits. Et, au tribunal du bon sens et de la lucidité, il convoque ses témoins : l’histoire de la Terre, la grande aventure humaine, les sciences et les technologies.

Avec humour, Yves Roucaute démonte une par une les idées fausses.

Les cyclones, séismes et variations climatiques ? Pires hier qu’aujourd’hui. Peut-on vivre en harmonie avec la nature sans la dominer ? Non. Le CO2 ? Rien de diabolique. L’éolien ? Beaucoup de vent pour rien. Le nucléaire ? Une alternative. Les produits bio ? Tous chimiques. La « Transition écologique » ? Une chimère. Le productivisme ? Une évidence. Et la société de consommation ? Une espérance.

L’écologie ? Yves Roucaute est pour, mais une écologie non punitive, alimentée

par le savoir, tournée vers l’avenir. Réaliste, la vraie écologie rappelle aux nations que puissance rime avec croissance et décroissance avec décadence. Métaphysique, elle appelle à briser les spiritualismes d’occasion. Morale, elle remet l’humain au centre de l’univers.

Voici une ode à la créativité, à la liberté, à la vie apte, enfin, à réenchanter le monde.