Épisode 3. La fable des gaz à effet de serre et l’officine de dépression du G.I.E.C.

1.2. La fable des gaz à effet de serre et l’officine de dépression morale du G.I.E.C.

La dépression de la jeunesse est alimentée chaque jour par des affabulations sur les fameux gaz à effet de serre ! J’allais dire fumeux, non sans raisons, car je pense à la vapeur d’eau.

Car non ! le CO2 n’est pas le principal gaz à effet de serre. Le principal, est la vapeur d’eau, de 65 à 80%, 90% même lors de certaines éruptions volcaniques.

Ce qui laisse pantois cette prétendue transition écologique quand elle développe des industries comme celles qui sont liées à l’hydrogène, auxquelles je suis favorable mais pas pour les mêmes raisons. Car elles produisent un maximum de vapeur d’eau. Donc de G.E.S. elels produisent du cO2 aussi d’ailleurs, mais passons.

Pire encore : oui, la véritable écologie dit vive les gaz à effet de serre ! Car ils sont indispensables à la vie.

Sans eux nous mourrions immédiatement de froid. Songez que l’on a même eu 3 situations de terre absolument gelée sur cette planète, comme une boule de glace, qui ont duré plusieurs centaines de millions d’années faute de gaz à effet de serre.

Sans eux nous mourrions aussi sous l’effet de certains rayonnements solaires comme les rayons gamma et les rayons X.

Trop de gaz à effet de serre tue, pas assez aussi. Et, hélas, seul l’orgueil peut faire crorie que nous pouvons bouger l’angle de la planète ou arrêter les volcans et séismes.

Et le maudit CO2 ? Faut-il chasser le carboné ?

La chasse est ouverte. Ce qui est drôle. Car le carbone est indispensable à la vie. Pour les humains, il représente d’ailleurs 18,5% du corps.

Et le  CO2, il n’a rien de maléfique. C’est une molécule composée de 2 atomes de carbone et d’un atome d’oxygène. Ce qui au passage est évidemment intéressant car cela signifie que, puisqu’il est composé, il est aussi décomposable par l’industrie.

Son pourcentage est-il dangereux aujourd’hui ? Non. Il représente 0,0415% dans l’atmosphère respiré, soit 415 ppm.

Faut-il désespérer de le voir monter à 416 ou 420 ? Une Galéjade. Il y en aurait même dix fois plus qu’il n’y a aucun risque pour la santé.

Est-il exceptionnel à cause de l’humanité ? Une autre galéjade. Hors glaciations, depuis 541 millions d’années, excusez du peu, la moyenne du CO2 est de 3000 à 7000 ppm, soit près de 8 à 17 fois plus qu’aujourd’hui !

Quant au réchauffement qui en dépendrait mécaniquement…Il y eut même au début de certaines glaciations des taux de CO2 supérieurs à 4500 ppm.

Et la part de l’humanité ? Certes, l’humanité en produit, y compris quand elle respire. Mais nul n’est capable de dire sa part dans les GES entre la vapeur d’eau, le CO2 et tous les autres éléments des GES.

Une chose est certaine, elle est infime, sinon nous n’aurions pas ce taux si faible et ces températures si modérées eu égard à l’histoire de la planète avant que l’humanité n’apparaisse.

Mais puisque la culpabilité humaine et la responsabilité du capitalisme et de la croissance est vendue tous les jours au nom des rapports prétendument scientifiques du G.I.E.C., un mot sur le G.I.E.C.

Chacun de leur rapport est regardé comme un évangile au lieu d’y voir une parodie comique, ce qui est curieux.

Créé en 1988, voilà un groupe de 34 personnes dont le but officiel est de montrer la responsabilité humaine dans le réchauffement. On ne peut être plus neutre.

Ces experts sont nommés par les chefs d’État et de gouvernement, ce qui serait, me dit un expert en stalinisme, un gage de scientificité. Ainsi, le dernier Président qui s’était découvert une vocation d’économiste de l’écologie après des études de Lettres, avait été nommé par son frère, le premier ministre de Corée. Oui, un gage de scientificité.

Ces experts en climatologie, science qui, par ailleurs, à la différence de la météorologie, n’existe pas, utilisent, pour leurs rapports, ceux des associations militantes, des centres de littérature et de sciences humaine écologistes, et quelques instituts en énergies dites alternatives.

Cela donne de jolis graphes colorés et de splendides prédictions de catastrophe que reprennent certains médias qui savent l’audience des films catastrophe.

Ce qui est drôle c’est que, systématiquement, toutes leurs hypothèses se révèlent fausses quand elles sont précises.

Ainsi, lors du premier rapport, celui de 1990, parmi les prévisions, les eaux allaient monter de 6cm par an, des îles allaient disparaît comme les Îles Marshall, de quoi alimenter les caisses écologiques par les riches américains apeurés qui y ont des propriétés, la crise agricole allait détruire le Brésil, le Chili, le Pérou… Le niveau des mers a-t-il monté de près de 2 m ?

Qu’importe, l’air de catastrophe permet d’avoir des voix, de l’audience et des subventions, c’est donc plaisant. Je pourrais m’amuser ainsi sur chaque rapport. Dès qu’une hypothèse est précise, hop ! la réalité prouve qu’elle est fausse.

Celui de 2007 est l’un des plus désopilants. Il prévoit, avec plein de graphes encore, pour 2020 ; un réchauffement jamais vu depuis 650 000 ans. L’Afrique verrait 75 millions à 250 millions de personnes mourir de faim ou de soif, 50% de l’agriculture fluviale serait détruite, l’Asie serait submergée par des problèmes d’eau, avec montée de la mortalité et de la morbidité, les rendements agricoles allaient baisser vertigineusement et les fameuses îles des milliardaires américains seraient sous l’eau…

Dans ces rapports, tous les montages sont bons pour donner au spectateur sa dose de stress. Ainsi, pour nier l’influence des volcans dans les Gaz à effet de serre, ils utilisent les travaux de Terrance Gerlach qui ont décrété que seuls méritent leur attention une cinquantaine de volcans. 50. Ils effacent donc 1500 volcans terrestres et 1,5 million de volcans sous-marins. Puis, ils écartent la vapeur d’eau, l’anhydride sulfureux, le monoxyde de carbone, le sulfure d’hydrogène, le méthane… Et hop ! les volcans bien choisis produisent seulement 250 millions de tonnes de CO2 par an. Moins que la respiration des humains, donc négligeable. Quand l’on songe que la troisième éruption du Krakatoa, en 1883, équivalait à 13 000 bombes d’Hiroshima, ou celle du mont saint Helens, en 1980, à 1600 Hiroshima, avec les coulées de laves de 800 °C. à plus de 800 km/h, vitesse non autorisée, leurs gaz dont la vapeur d’eau, on applaudit la fable.

On invente de même des cyclones toujours plus nombreux alors qu’ls ne le sont pas, une couche d’ozone qui augmenterait avec le réchauffement alors qu’elle augmente avec le refroidissement, des séismes qui seraient miraculeusement comme les volcans, non producteurs de gaz à effet de serre…etc

Que l’on prenne au sérieux ces rapports et leurs conseils de « transition écologique », surtout en Occident car l’Orient est plus réaliste, est pour le moins curieux, sinon symptomatique d’une crise profonde et du recyclage réussi des ex-rouges qui ont raté la révolution mais ne veulent pas rater la destruction de notre modèle de développement occidental.