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Atlantico. 2 mars 2025. « Aujourd’hui le bonheur » du philosophe Yves Roucaute est d’abord le récit de la formidable Odyssée de l’humanité en quête du bonheur qui aboutit aujourd’hui. C’est aussi une enquête qui donne le sens de l’évolution des religions, des sciences et de la philosophie par une philosophie de l’histoire que nul n’avait plus écrit depuis Hegel.

Le livre d’Yves Roucaute est, surtout, un merveilleux conte initiatique écrit par un philosophe chrétien qui assume ses valeurs judéo-chrétiennes, présenté comme les carnets de voyage d’un vagabond, humble et bouffeur de miel, qui ravira ceux qui ont soif de spiritualité mais qui désespérera les prophètes de malheur, experts en peurs et en culpabilité. Et, cerise sur le gâteau, il amusera ceux qui aiment les énigmes, car outre de répondre aux questions d’actualité, il contient des secrets à chaque page, d’où le second entretien que nous lui consacrerons.
Ainsi, avec ce vagabond plein d’humour, on va de gare en gare à la rencontre de sages, de savants, de philosophes en suivant pas à pas l’histoire de l’humanité, en partant de la station « état de nature » qui représente symboliquement la vie de l’humanité à l’état nomade du paléolithique. Puis, on prend l’Orient Express pour passer aux stations Sumer, Hindouisme, Bouddhisme, Taoïsme, Confucius…jusqu’à Jérusalem. Puis, l’Occident Express qui traverse l’Antiquité et le Moyen-Âge et, le Mondial Express, qui passe en revue la modernité. En chemin, le philosophe brise les idolâtries, de celle de la Planète à l’État, il dissout les idéologies, de l’écologie punitive au wokisme et disperse les fantasmes matérialistes sur l’intelligence artificielle et la démagogie anticapitaliste. Et il récolte les 4 clefs pour s’orienter face aux malheurs dus à la nature, à autrui, à soi-même et à l’illusion que la nature humaine serait damnée.
À la fin, arrivé dans la Vallée de Miel, célébrant la course aux innovations, l’école Ad Astra d’Elon Musk et la libération de la créativité, particulièrement celle des femmes, il découvre la formule du bonheur. Avec, en cadeau, la preuve par la créativité, que nul n’avait trouvée, de l’existence de Dieu et de l’immortalité. Et que d’énigmes pour s’amuser ! Ainsi ce prénom de « Mary » du premier personnage rencontré, cette rue Ave Maria que prend le vagabond pour aller à la Taverne des Humaniste de Montaigne, cette canne très christique, cette eau de la source, l’homme en blanc… plus qu’une saga de l’humanité, un conte initiatique.
Atlantico : En quoi ce livre sur le bonheur diffère-t-il de ceux qui l’ont précédé et ne craignez-vous pas d’être à contre-courant dans cette France pessimiste où la spiritualité chrétienne n’a guère bonne presse ?
Yves Roucaute : II est vrai que la France broie du noir plus qu’aucun autre pays européen. Les prophètes de malheur y attisent avec succès la culpabilité et les peurs. Un phénomène favorisé par l’oubli de la culture judéo-chrétienne française et ses valeurs universelles incorporées dans son mode de vie, de sa façon de mettre la table à celle de partager le pain et le vin, de cette laïcité née de la distinction de Dieu et de César à la dignité de la femme et aux droits de l’Homme, comme je l’ai démontré dans un autre livre, Le mode de vie à la française. Curieusement, on a le droit de se dire philosophe athée, de Luc Ferry à André Comte-Sponville, et parfois même, philosophe militant athée, comme Michel Onfray, esprits par ailleurs fort estimables, mais il serait opposé à la bienséance d’être un philosophe chrétien, voire d’évoquer la spiritualité. D’où, malheureusement, cette multiplication d’écrits de circonstance sur la planète, l’intelligence artificielle, le wokisme, l’islamisme, la souffrance sociale… qui, au lieu de faire reculer les idéologies, faute de spiritualité, laissent libre cours aux prophètes de malheur, voir les alimentent.
Mais pas de quiproquo, si Aujourd’hui le bonheur aborde toutes ces questions dans le détail, et bien d’autres encore, il peut être lu et approuvé sans croire en Dieu. Je me méfie d’ailleurs de tous ces usages du nom de « Dieu » qui cachent parfois la haine et l’intolérance…ce qui est précisément opposé à ma vision chrétienne du monde et à l’esprit de ce livre qui se présente comme les carnets de voyage d’un vagabond que je rencontre près de la fontaine Bethesda de Central Park à New York. Gourmand de miel, appuyé sur sa canne, parti à la recherche du bonheur, il ne croit en rien de ce qui ne serait pas prouvé par la raison. On le suit ainsi, pas à pas, de gare en gare, tel un Sherlock Holmes, enquêtant sur l’histoire de l’humanité, depuis son apparition sur terre jusqu’à aujourd’hui. Et, trouvant partout son miel, il met, à chaque étape, dans la poche de devant, les bienfaits des sages, des philosophes, des savants rencontrés, et, dans la poche de derrière, ce dont il faut se défaire pour être heureux.
Atlantico : Mais, comme je vous le disais, il existe de nombreux livres sur le bonheur…
Certes, mais hélas ! que de brumes ! Car tous, sans exception confondent bonheur, plaisir, joie, contemplation, béatitude, félicité, nirvana, énergie voire fusion du « moi » dans une marmite cosmique (rires) ou dans une matière idolâtrée. Songez à ces matérialistes qui confondent d’Épicure, que mon personnage de vagabond rencontre à Athènes, avec l’admirable penseur chrétien Rabelais. Cela alors que ce matérialiste incohérent se nourrissait d’un quignon de paix et d’eau fraîche, imaginait des atomes comme de petits esprits magiques, vivait avec sa secte entre de hauts murs, refusait l’amour, le mariage, les relations sexuelles, le devoir civique et même l’amitié si elle coûte trop d’efforts. Ou songez à ceux qui, au lieu de voir la recherche du bonheur comme un droit de l’homme, individuel et naturel, à la manière dont l’ont théorisé les libéraux chrétiens John Locke ou Thomas Jefferson, que le vagabond rencontre à Londres, prétendent qu’il serait donné via l’État, sa bureaucratie et des chefs politiques à faire notre bonheur contre nous-même. Ceux qui suivent LFI, les communistes ou les Verts seraient bien inspirés de lire l’épisode qui se passe au Café de la République à Paris, où mon vagabond comprend que si Gavroche est tombé à terre, c’est la faute à Voltaire, le nez dans le ruisseau, c’est la faute à Rousseau. (rires)
Moi-même, à lire ces écrits sur le bonheur, longtemps j’en ai conclu que Voltaire avait raison, « nous cherchons tous le bonheur mais sans savoir où, comme des ivrognes qui cherchent leur maison, sachant confusément qu’ils en ont une. » D’ailleurs ce livre commence quand, assis sur un banc près d’une fontaine de Central Park, je ferme les Essais de Voltaire, emporté dans la nostalgie de ces moments disparus où je partageais avec mon père, près de notre source, le miel du Pont-de-Montvert.
Dans ces brumes, je me disais « il est où le bonheur ? » comme le chante le talentueux Christophe Mahé (rires). Car hélas ! à l’inverse du bonheur, le malheur dont se nourrissent les idéologues, est bien là. Et il nous assaille de quatre façons : par la nature, entre glaciations et séismes, réchauffements et éruptions volcaniques, virus et bactéries létales… par les humains qui leur ajoutent, comme si les premiers ne suffisaient pas, crimes, tyrannies, esclavagismes, totalitarismes, guerres… par nous-même, imaginant notre corps source du mal et le « moi » haïssable… et, fondement de tous les autres malheurs, par la croyance que notre nature humaine serait coupable et damnée pour toujours.
Mais, sans l’ivresse(rires), j’ai enfin trouvé la maison avec les 4 clefs, ces 4 antidotes aux 4 malheurs, et le Graal à visage humain (rires), cette formule du bonheur pour tous ici et maintenant. Formule qui, en libérant la course à l’innovation, est aussi celle de la richesse et de la puissance des nations comme l’ont pressenti intuitivement les États-Unis de Donald Trump et la Chine de Xi Jinping. Et avec cette découverte, je remets la spiritualité là où elle doit être, au centre de nos vies, comme l’église au centre du village.
Atlantico : Quelles sont ces 4 clefs ?
Elles ne peuvent être découvertes et acceptées, pas plus que la formule du bonheur, sans une rigoureuse démonstration, tout comme la révolution des Temps contemporains qu’elles révèlent.
Le voyage qui suit l’histoire de l’humanité, commence donc logiquement à la station « état de nature ». Le vrai état de nature. Cette station représente symboliquement ce moment l’histoire humaine où l’humanité était nomade et animiste. Je la situe en Afrique de l’Est dans les fouilles archéologiques des Gorges d’Odulvaï où ont vécu des ancêtres australopithèques, il y a 1,8 million d’années. Face aux malheurs dus à la nature, le vagabond y découvre la première clef du bonheur, ce premier antidote aux prophètes de malheur qui vendent l’idolâtrie de la planète, l’écologie punitive et la décroissance. Elle dit : dominez la nature et assujettissez ce qui s’y trouve. C’est la première partie du livre.
Puis, par l’Orient Express, le vagabond va aux stations Sumer, Hindouisme Bouddhisme, Taoïsme, Confucius, Shintoïsme, Jérusalem. Face aux malheurs dus à autrui, avec haines, esclavagisme, guerres, comme celle que l’on connaît en Ukraine, tyrannies et totalitarismes, phénomènes nés des sédentarisations, il trouve à Jérusalem la seconde clef. Un Antidote aux wokistes qui prétendent que le capitalisme et l’Occident chrétien auraient inventé cela, aux idolâtres du Pouvoir et aux Maîtres de Vérité dont Guides et Pères du Peuple sont la résurgence. Cette formule qui doit nous diriger dit : aimez-vous les uns les autres. C’est la seconde partie du livre.
Puis, par l’Occident Express, il rencontre sages, philosophes et savants de l’Antiquité et du Moyen-Âge dont Pythagore, Socrate, Aristote, Épicure, stoïciens et sceptiques, saint Augustin et penseurs musulmans, Thomas d’Aquin et Guillaume d’Occam. C’est à Paris, dans le Marais, à la Taverne des Humanistes, que le chrétien Montaigne lui donne l’antidote face au malheur dû à soi, contre la culpabilisation et la haine du moi et les idolâtries de l’État, du Marché, de la Science…Cette clef dit : aimez-vous et cueillez le jour. C’est la troisième partie du livre.
Il prend alors le Mondial Express. pour affronter ce dernier malheur : croire que l’humanité serait par nature coupable et damnée, croyance alimentée par l’existence dans le moi des pulsions morbides, ce que certains appellent le péché. Suivant l’évolution de la pensée moderne, il arrive à Buchenwald, où, bouleversé, il découvre avec la nature créatrice humaine, l’antidote aux pulsions mauvaises en soi et hors de soi, la quatrième clef : « je crée ». C’est la quatrième partie.
Enfin, dans la Vallée de Miel, il saisit l’usage des 4 clefs et arrivé à la source, buvant de son eau, il découvre la formule du bonheur. Il comprend alors que ce voyage était celui de sa conscience et que la formule du bonheur avait toujours été là, comme une grâce donnée à tous, qui permet de réaliser sa nature ici et maintenant et de communier avec l’énergie créatrice du monde…C’est la cinquième partie du livre…
Atlantico : Quelle est cette formule du bonheur ?
Elle suit la découverte de la quatrième clef. Il comprend alors que ce qui distingue les humains des autres vivants n’est pas l’intelligence, d’être Homo sapiens, car les mammifères ont aussi de l’intelligence, capable même de ruser pour aller bouffer de l’humain. Une erreur qui est à l’origine de ce simulacre vendu par les matérialistes d’une super Intelligence, d’une Intelligence Générale Artificielle, qui deviendrait comme Mère-Grand, dévoreuse de petit Chaperon Rouge.
Mais ce qui distingue l’humain de tous les autres vivant, ce qui révèle l’essence de l’humanité, c’est la créativité. Seul parmi les vivants, il est créateur. Une triple créativité : envers la nature que l’humanité transforme et assujettit autant que possible, envers les autres humains, en créant des civilisations, et envers son corps qu’elle améliore jusqu’à traquer les maladies génétiques. Oncle Picsou a une canne seulement dans les dessins animés, sinon nul n’a jamais vu de canard ou de singe se fabriquer une canne, c’est d’ailleurs en comprenant cela que le vagabond, songeant à Archimède crie en riant « eurékanne !» L’homme est par essence créateur, il est Homo creator.
Avec cette découverte de la créativité, les quatre clefs apparaissent alors comme des armes : créer en transformant la nature pour faire reculer le malheur qui lui est dû ; créer en transformant les civilisations pour les amener à la paix par l’amour et la coopération ; créer en transformant son corps et en améliorant ses conditions d’existence dans le monde par l’amour de son moi ; créer en conformant notre existence à notre nature créatrice contre les pulsions de mort en nous.
Il saisit que puisque la nature humaine est d’être créatrice, le bonheur ne peut être que dans la plénitude de la réalisation de soi, de sa nature créatrice, ici et maintenant. Pour ne pas tout dévoiler ici, buvant l’eau de la source, il saisit par la raison qu’il est possible pour chacun d’utiliser la transcendance du « je » pour diriger l’énergie du « moi » vers la créativité, ce qui permet de communier avec l’énergie créatrice du monde. Et la formule du bonheur, comme une grâce donnée à chacun, lui apparaît en un mot : « créez ! »
Atlantico : La formule du bonheur n’a donc rien à voir avec le plaisir et la joie ?
C’est la plus dangereuse des confusions. Car si le bonheur est nécessairement accompagné de joie et de plaisir, puisqu’il est la réalisation de sa nature créatrice, le contraire est absolument faux. Le vagabond le découvre lorsqu’il arrive à Buchenwald. Il vient de déjeuner d’un excellent repas de bonnes nourritures terrestres, à Weimar, avec Bergson, après avoir visité la maison de Goethe, dans le restaurant où le poète amenait réellement ses invités. Puis, il va à quelques kilomètres à Buchenwald. Et là, dans ce camp, il comprend l’errance de Nietzsche qui célébrait l’énergie, celle de ceux qui célèbrent la seule liberté, celle des matérialistes qui célèbrent le plaisir et celle tous ceux qui imaginent que la joie serait le chemin du bonheur. Il songe à Josette Roucaute qui a réussi à fuir la marche de la Mort à la sortie du camp, à Raoul Roucaute noyé dans les rires par les SS de Mauthausen et il pleure au souvenir des enfants juifs de Buchenwald martyrisés dans la joie par les tortionnaires. Il saisit que l’énergie en nous peut se tourner vers la destruction, que la volonté libre peut être mauvaise, que la joie et le plaisir peuvent couronner l’abjection. Il découvre que la liberté indispensable au bonheur, seule, ne suffit pas. Elle doit être orientée par le « je » pour commander le « moi » et lui permettre de diriger l’énergie du corps vers la création.
Il découvre aussi, puisque notre nature est créatrice, que ceux qui détruisent ratent le bonheur en refusant leur propre nature créatrice, puisqu’ils jouissent de leurs pulsions de mort et de la détruire chez les autres. Croyez-vous que ce soit un hasard si les écologistes punitifs traquent le plaisir de Noël jusqu’à vouloir l’interdiction des sapins et des joyeuses fêtes religieuses, ou si, partout où ils ont pris le pouvoir, communistes, fascistes ou nationaux-socialistes ont persécuté les juifs, enfermé et tué les prêtres ? Ils jouissent de leurs pulsions morbides, certes, mais cette jouissance n’accomplit pas leur nature. C’est pourquoi, en aigris de la vie, ils traquent la joie créative.
Atlantico : Mais avant d’aborder les thèmes d’actualité traités dans votre livre et de nous révéler quelques-unes des énigmes, créer est-il permis à tout le monde, et comment pouvez-vous écrire que le bonheur est possible par la prière ?
Vous touchez là l’appel à la révolution du livre. (rires) Le vagabond se pose la question en arrivant sur la plage de la station Vallée de Miel. Il y voit une petite fille qui crée un château de sable, c’est la couverture du livre. Et d’autres enfants jouent en créant pâtés de sable et dessins près d’elle. Il comprend alors que la créativité est universelle et il se demande comment cette créativité native que nous constatons chez tous les enfants, peut-elle être détruite ensuite ? Pourquoi tant de petites filles devenues femmes sont-elles condamnées à ne plus pouvoir créer ? D’où vient que cette grâce universelle de pouvoir faire de sa vie une œuvre d’art soit si souvent écartée ?
En montant vers les sources de la vallée de Miel, il comprend que ce sont les vallées de larmes qui freinent ou détruisent cette nature créatrice individuelle, empêchant le bonheur. Il rencontre ainsi Albert Einstein qui, constatant le rejet ou la distance prise par les enfants envers l’école, lui apprend ce que doit être l’école de la créativité, celle qui conjugue la joie d’apprendre avec le respect de ceux qui savent et l’apprentissage de sa propre créativité. Puis il découvre quantité d’autres merveilles liées à la mise en œuvre de chacune des quatre clefs, pour libérer la créativité, d’où cet arc de triomphe sous lequel brûle la flamme de la Créatrice et du Créateur Inconnu ou ce jardin des Tuileries construit autour des statues des femmes prix Nobel.
Bref, dépassant les cascades, Peggy Guggenheim lui prouve que chacun peut faire de sa vie une œuvre d’art, de la mère qui enfante à celui de l’enfant qui fait son dessin, de l’entrepreneur qui crée son entreprise au savant qui participe à un brevet, du cuisinier qui crée son plat à l’artisan qui fait son ouvrage, du journaliste qui crée son article au sportif qui crée dans son jeu… Et je démontre, mais je ne peux dans cet entretien développer ce point, que cette créativité se réalise aussi par la prière à condition d’être tournée vers le bonheur d’autrui, car c’est une façon, en communiant avec l’énergie créatrice du monde, d’y participer, de réaliser sa nature créatrice et d’aider les autres à se réaliser… Il y a donc autant de manières d’être heureux que d’individus. Car la créativité ne se quantifie pas, elle tient à notre « je » qui s’incarne dans l’Être, dans l’espace-temps du monde, dans le lieu-durée de notre existence. Au lieu de la construction d’une Tour de Babel qui voudrait, par orgueil, concurrencer je ne sais quel Dieu païen qui serait à notre image, jaloux et colérique, elle révèle les rhizomes d’une fraternité universelle qui ne demande qu’à se développer, si l’amour lui prête vie. Ce que l’un des slogans de la Vallée de Miel dit avec humour avec un pied de nez aux marxistes : « créateurs de tous les pays, unissez-vous ! ». Une façon en créant de se tourner vers l’énergie créatrice du monde dont nous devons et vers laquelle nous retournons gardant, comme je le prouve aussi, la mémoire des bonheurs passés. Mais c’est là une autre dimension du livre, plus métaphysique, que nul n’est contraint de suivre…
(à suivre…)