(Auteur: Jean de Jalcreste)
Yves Roucaute, né à Paris, en 1953, est un philosophe français, épistémologue, logicien, Président de Y International Consulting, Professeur des Universités à l’âge de 32 ans, agrégé de science politique et de philosophie, docteur science politique, conférencier sur les nouvelles technologies, en particulier les biotechnologies, les nanotechnologies, l’intelligence artificielle et la robotique pour de nombreux groupes, inventeur du concept de « sécurité globale », il a dirigé de nombreux programmes de recherche au niveau français et européen, comme « European Governance and Global Security » (IPSA). Il a été le président élu du conseil scientifique de l’Institut National des Hautes Études de la Sécurité et de la Justice de 2006 à 2011 et au conseil scientifique de l’International Association of Criminology. Il a été au Board du groupe d’experts pour l’Université Mondiale sécurité et développement (ONU). Collectionneur d’art , il intervient aussi comme expert et conférencier sur l’art moderne et l’art contemporain.
Défenseur des droits humains, il intervient pour des causes humanitaires. il a été arrêté à Cuba pour avoir défendu des prêtres et des défenseurs laïcs des droits de l’Homme. Ami du commandant afghan Ahmed Chah Massoud, il a été invité à Kaboul. Lors de la libération de Kaboul par l’Alliance du Nord, il a été réinvité pour assister à la libération de la capitale : arrivés avec Alain Madelin par le Tadjikistan, logés dans un camp tadjik, transportés par un hélicoptère de feu le commandant Massoud qui faillit s’écraser sur l’Hindu Kush (il s’écrasera le lendemain), ils arrivèrent au milieu des combats et occupèrent l’ancienne télévision d’Etat sous les tirs des Talibans[16]. En Irak, en 1991, il a appelé l’opinion à défendre les droits de l’Homme, en particulier ceux des Chiites arabes et des Kurdes et a demandé une intervention au nom du droit d’ingérence humanitaire. En 2004, il a été invité à Baggad pour fêter la défaite de Saddam Hussein, logé chez le ministre des droits de l’homme, un an après l’intervention des forces conduites par les Etats-Unis. Au Viêt Nam, il a défendu des bonzes et participé à des manifestations à Paris de solidarité.
Il intervient souvent dans les médias. On lui doit les quotas de musique française sur les radios lorsqu’il était conseiller d’Alain Carignon, alors ministre d’Édouard Balladur. Ancien directeur de France 3 Télévisions, rédacteur du cahier des missions et des charges de France Télévisions, il a participé à de nombreux journaux et aux comités scientifiques de nombreuses revues, dont les revues Philosophie politique dirigée par son amie Blandine Barret-Kriegel, et Crises, qu’il a dirigée et qui comprenait Jean-Pierre Faye, Ali Magoudi, Dominique Desanti, Raymond Boudon, Marc Fumaroli, Guy Hermet, René Major, Daniel Sibony, Guy Sorman, Alexandre Adler, Françoise Gaillard, Gérard Rabinovitch, Jean-Jacques Roche, Thomas Stern, Marek Halter, Gérard Haddad, Jean-Jacques Moscovitz, Luce Perrot. Il a par ailleurs été membre des comités de rédaction de Clarté, Vendredi, Maintenant, Non, L’Événement du jeudi, Alternances (journal de la communauté juive), Valeurs Actuelles.
Il est conseiller de certains politiques. Il a été appelé comme conseiller dans de nombreux cabinets ministériels. Il est aussi le Français qui a été dans le plus grand nombre de cabinets ministériels : conseiller technique ou spécial, chargé de l’audiovisuel, des réseaux et du GATT du ministre de la Communication (Alain Carignon) et du Premier ministre (Édouard Balladur) ; chargé de l’audiovisuel public et du Centre National du Cinéma, conseiller du ministre de la Culture (Jacques Toubon) ; conseiller spécial d’Alain Madelin, ministre des Finances ; conseiller technique au Cabinet du ministre délégué de l’Enseignement supérieur et de la Recherche François Loos ; conseiller et chargé des discours stratégiques du ministre de l’Intérieur, de l’Outre-Mer et des collectivités territoriales, Claude Guéant.
Bref aperçu sur la famille et l’itinéraire
Yves Roucaute est issu d’une vieille famille française. Son ancêtre, Pierre de Roucaute, est enterré en 1020 dans la cathédrale Notre-Dame-et-Saint-Castor de Nîmes, et le château de Roucaute, qui aurait accueilli Blanche de Castille, fut l’objet d’un affrontement sanglant entre les Bourguignons et les Armagnacs. Après les guerres de Religion, sa famille paternelle, protestante, s’est réfugiée dans les Cévennes et a abandonné sa particule. Sa famille maternelle normande, catholique, vient d’Étretat, où sa grand mère Andrée est née. Son grand père, picard, a été militaire avec le général Leclerc avant de devenir restaurateur près de Louviers puis à Paris.
Élevé par son père, Marcel, à partir de l’âge de 9 ans, sa famille paternelle eut une grande influence dans ses engagements de jeunesse. Son grand-père, Élie, était l’un des fondateurs de la Bourse du travail d’Alès et un dirigeant du syndicalisme révolutionnaire. Mais passé la période de jeunesse, l’influence prépondérante fut celle, morale et théologique, de sa grand-mère Esther, une chrétienne puritaine austère, allergique au stalinisme et méfiante envers le pouvoir politique, qui faisait partie du groupe des femmes qui protégèrent des enfants juifs dans les montagnes de la région de Saint-Étienne, et qui lui disait la Bible, Nouveau et Ancien Testament, ainsi qu’aux gens du village de Saint Paul La Coste et de ses environs.
Né le 17 janvier 1917, son père Marcel était issu d’un petit village dans les Cévennes, Saint-Paul-Lacoste. Berger dés l’âge de 9 ans, car la famille de 12 enfants avait besoin de survivre, Marcel Roucaute logeait une grande partie de l’année chez ses employeurs en hiver et dans les montagnes quand le printemps arrivait. Il logeait sinon chez ses parents, Elie et Esther, qui habitaient un mas, au Villaret, et chez sa grand tante, Rachel. Elie, baptisé protestant, avait été un compagnon du tour de tour de France. Il avait créé la Bourse du travail à Alès et était un dirigeant des syndicalistes révolutionnaires. Esther, protestante très pieuse, était issue de la famille Guin qui s’intéressait plus à la Bible et aux sciences (mathématiques et médecine) qu’à la politique.
Marcel a joué un rôle majeur dans la résistance sous le nom de « Commandant Yves ». Croix de guerre avec palme, Médaille de la résistance et Légion d’honneur, il était responsable des structures clandestines « Organisations spéciales » et des Francs-Tireurs partisans dans le var, les Alpes et les Bouches du Rhône. Il faisait partie du groupe des communistes patriotes réunis autour de Waldeck Rochet qui le nomma administrateur de « La Terre ». Le berger devient, après la guerre, PDG du journal « La Terre », transformant ce petit hebdomadaire en premier journal agricole de France avec plus de 260 000 abonnés et 900 000 lecteurs, et devenu un un dirigeant de la presse et de la finance du parti communiste.
La famille Roucaute avait fait le même choix. Tous les frères et soeurs de Marcel en âge de combattre sont entrés dans la résistance. Le jeune frère de Marcel, Raoul, a été emprisonné, torturé puis noyé par la Gestapo dans un cours d’eau près de Linz. René Roucaute, son cousin germain, avait été torturé et condamné à mort tout comme son épouse Josette, sauvé in extremis par son frère Roger ; René appellera son fils Raoul en mémoire du frère de Marcel; il dirigera après la guerre le CDLP, première maison d’édition de livres et de musiques de France. Ses deux oncles, Gabi et Roger Roucaute, ont été députés dans l’Assemblée nationale constituante à la Libération. Roger Roucaute, alias le général Lazard, était le chef militaire des FTP dans le Sud de la France et a libéré Lyon et qui est devenu député maire d’Ales, pour remplacer Gabriel Roucaute décédé. Et bien d’autres membres de la famille qui avaient construit une sorte de dynastie avec les 11 frères et soeurs de Marcel et leur parentèle, comme Lucien Vincent, de la « Haute société protestante » nîmoise, époux de Lucette Roucaute, dirigeant du Comptoir Agricole de France, un des fleurons du groupe de Jean-Baptiste Doumeng.
Yves Roucaute a vécu en pension chez une nourrice sur les bords de la Seine, à partir de l’âge de 3 ans, avant d’être mis dans une pension où il subit des violences extrêmes. Repris et élevé par son père à partir de l’âge de 9 ans, il a vécu à Arcueil, dans la cité HLM au Chaperon Vert, où il a fait ses études primaires. Puis, suite à une campagne déclenchée par son père et la population, il a pu faire ses études au Lycée d’Antony, seul lycée de la région à avoir cédé et accepté les enfants de cette cité.
Il passait ses vacances dans les Cévennes, au Pré saint Jean, à Ales et, surtout dans les montagnes, à Saint-Paul Lacoste, chez sa tante Yanou. Il restait sous les châtaigniers à lire près du mas ou au sommet de la montagne. Lors des fortes chaleurs, il descendait jusque dans la rivière, le Galeizon, pour se baigner. Il allait aussi dans les pays de l’Est européen. Le jeune Yves a ainsi passé sa jeunesse entre les Cévennes, Paris et les pays de l’Est, en particulier Berlin-Est, Prague, les bords de la mer noire, de la Volga et du Lac Balaton, Moscou et Varsovie où il faillit se marier. Le général Giap lui a appris à pécher sur le lac Balaton.
En raison de sa relation amoureuse avec une polonaise, philologue, et de ce qu’il voit dans ces pays, il rejette totalement le communisme stalinien a 18 ans et il découvre Antonio Gramsci. Il croit alors possible de trouver la voie d’un socialisme à visage humain et il fonde à Paris l’Institut Gramsci avec 300 membres et une organisation pour venir en aide à ceux qui sont persécutés dans les pays communistes, faisant passer des dissidents d’Est à l’Ouest. Devenu opposant au parti communiste, qu’il quitte à 26 ans, puis responsable de la formation des cadres d’un courant du PS et secrétaire à la formation du PS, il le quitte en 1983 marquant sa rupture définitive avec toutes les formes du marxisme à la suite de son expérience et, surtout, de ses travaux en épistémologie et en philosophie politique.
Puis, il commence à théoriser, contre la modernité et ses amis postmodernes, l’idée d’une entrée dans les « Temps contemporains », ce qui le conduira à la découverte que la nature humaine est d’être Homo creator, et la nécessité de conjuguer la morale, la métaphysique et la théologie, avec les sciences et la politique. Ses travaux se sont développés sur la créativité humaine, avec la Cité de la compassion, le développement durable et la paix d’humanité qui seraient les trois orientations des Temps contemporains contre les idoles, en particulier de l’État, du Marché et de la Raison qui caractériseraient les temps modernes et les tentations idolâtres et réactionnaires de la Nature, dont il démontre qu’ils sont le signe de la persistance de la pensée magico-religieuse venue du néolithique.
Itinéraire universitaire et revues
Il commence sa carrière universitaire comme enseignant à l’Université de Vincennes (Paris 8), où il suit les séminaires de Jacques Lacan, puis il devient assistant à la faculté de droit de l’université d’Amiens, en droit constitutionnel.
Il est ensuite devenu professeur des universités à la faculté de droit de l’université de Poitiers, où il a dirigé un séminaire de droit comparé sur les décisions du Conseil constitutionnel, du Conseil d’État et de la Cour de cassation. Ensuite, il est Professeur des universités, à Paris-X Nanterre où il enseigne en master l’épistémologie des R.I., en licence la philosophie politique et où il dirige le Master de Management du Risque et le département Relations Internationales-Sécurité-Défense du GAP.
Il a participé à de nombreux journaux et aux comités scientifiques de nombreuses revues. Il a été directeur de la revue Crises et de la revue « Les Cahiers de la sécurité » et membre de différents comités de rédaction de rue, comme Philosophie politique dirigée par son amie Blandine Barret-Kriegel. La revue Crises, comprenait Jean-Pierre Faye, Ali Magoudi, Dominique Desanti, Raymond Boudon, Marc Fumaroli, Guy Hermet, René Major, Daniel Sibony, Guy Sorman, Alexandre Adler, Françoise Gaillard, Gérard Rabinovitch, Jean-Jacques Roche, Thomas Stern, Marek Halter, Gérard Haddad, Jean-Jacques Moscovitz, Luce Perrot. Il a par ailleurs été à la direction ou membre des comités de rédaction de Clarté, Vendredi, Maintenant, Non, L’Événement du jeudi, Alternances, Valeurs Actuelles.
Activités politiques
Il a été arrêté à Cuba pour avoir défendu des prêtres et des défenseurs laïcs des droits de l’Homme. Ami du commandant afghan Ahmed Chah Massoud, il a été invité à Kaboul. Lors de la libération de Kaboul par l’Alliance du Nord, il a été réinvité pour assister à la libération de la capitale : arrivés avec Alain Madelin par le Tadjikistan, logés dans un camp tadjik, transportés par un hélicoptère de feu le commandant Massoud qui faillit s’écraser sur l’Hindu Kush (il s’écrasera le lendemain), ils arrivèrent au milieu des combats et occupèrent l’ancienne télévision d’Etat sous les tirs des Talibans[16]. En Irak, en 1991, il a appelé l’opinion à défendre les droits de l’Homme, en particulier ceux des Chiites arabes et des Kurdes et a demandé une intervention au nom du droit d’ingérence humanitaire. En 2004, il a été invité à Baggad pour fêter la défate de Saddam Hussein, logé chez le ministre des droits de l’homme, un an après l’intervention des forces conduites par les Etats-Unis. Au Viêt Nam, il a défendu des bonzes et participé à des manifestations à Paris de solidarité.
Ancien dirigeant de l’UNEF, dont il a été vice-président, de l’Union des étudiants communistes, qu’il a dirigée à la Sorbonne, de la tendance « italienne », ex-Président de l’Institut Gramsci. Il a été appelé comme conseiller technique dans les cabinets d’Alain Madelin, ministre de l’Industrie, des PTT et du Tourisme en 1986–1988 dans le gouvernement Chirac II ; de Alain Carignon puis de Jacques Toubon, ministre de la Culture et de la Francophonie en 1993–1994 dans le gouvernement Balladur ; d’Alain Madelin, ministre de l’Économie et des Finances en 1995 dans le gouvernement Juppé I et de François Loos, ministre délégué à l’Enseignement supérieur et à la Recherche en 2002 dans le gouvernement Raffarin I.
Biography
Yves Roucaute (born 1953 in Paris) is a French philosopher (epistemology, political theory, theology), Phd (Law and Political science), Phd (philosophy), writer, professeur agrégé in philosophy, professeur agrégé in political science, teaching at Paris X University Nanterre, Previous President of the scientific Council of the « Institut National des Hautes Etudes de Securité et de Justice » (Security council of Prime minister), director of the review « Cahiers de la Sécurité », counsellor of the « réformateurs » group at the French National Assembly. He has held a number of positions in cabinet ministers of right-winggovernments, and is a close friend of Alain Madelin, Jean-Pierre Raffarin, and Nicolas Sarkozy. He is also a journalist and columnist (« Canal + », « Figaro », « Le Monde », « Atlantico ») He was editing director of some newspapers (« Evénement du Jeudi », « Alternances ») and he is the owner of newspaper in the south of France (« Le Bavar ») and minority stockholder of some others. He is the majority stockholder of « Contemporary Bookstore » SAS.
Career
Roucaute began his teaching career as a lecturer at Paris 8 University, with Jacques Lacan, then while working on his doctoral dissertation on Aristote, Smith, and Ricardo, he was associated with the Faculty of Law of Amiens University. He completed this first PhD Then he was working and his doctoral dissertation on system and structure of the international politics. He has two agrégations in Philosophy and in Law and Political Science. He became a full Professor of political science and devoted his scholarship over the following decades in Epistemology, Political philosophy and International Relations at the faculty of Law of Poitiers, then at the Faculty of Law of Paris X Nanterre.
Roucaute is a philosopher and a theorist of «Homo creator», «Contemporary times», « global security paradigme ‘peace of Humanity » and « human security ». He was arrested in Cuba for his support to human rights association and priests. Friend of Massoud, he has been several times in Afghanistan. He was shooting by Talibans in 2001 when he was the guest of the North Alliance to celebrate the freedom in winter. Before the American troops, he arrived in Kaboul from a camp of Tadjikistan, after his helicopter nearly crashed on the Hindou Koush mountains. He was also in Baghdad with his friends to support human rights against Saddam Hussein and come to celebrate the victory against Saddam Hussein in 2003. He was arrested in Vietnam to support buddhist monks then organised the support with his friend Alain Madelin.
Roucaute has backed Nicolas Sarkozy. He is involved in the European People’s Party. He was a member of several minister’sofficess (notably the very influential Prime Minister’s Office Edouard Balladur, the Ministry of Finance’s Office Alain Madelin, the Ministry of Interior’s Office Claude Guéant). He has authored a number of books on philosophy, on theology, on economics, on the New world order of the 1990s, on defence policies and on the influence of religion in politics.
Roucaute was director of France Television. He co-owns several medias, and writes occasionally in Le Figaro and The Wall Street Journal.
C’était très sympa:-)
Amit
Bonjour,
Vous pouvez m’écrire sur roucaute@yahoo.fr
Néanmoins, je dois vous informer que je quitte Valeurs Actuelles. Il ne me sera donc plus possible de vous aider dans ce média.
Amicalement
Pr Dr Yves Roucaute
Bonjour Je ne suis plus à VA depuis bien longtemps. Notre rupture a été totale. Je n’ai plus aucun contact avec ce journal.
Bonne soirée
Le lycée d Antony ou nous étions
Tu étais un fanatique du communisme
D après ce que je vois tu as bien changé!!!
J espère que ta vie t as apportée ce que tu souhaitais
Brigitte Criniere
Bonjour Brigitte Crinière, j’étais en effet assez jeune rentré à la jeunesse communiste, mais je n’ai jamais été un « fanatique du communisme ». Ce fut d’ailleurs un de mes problèmes d’alors, qui explique qu’à la direction de l’UNCAL, puis de l’UNEF, en raison de mon alliance avec les socialistes, et de mes critiques de l’URSS, que je connaissais parfaitement puisque j’y étais souvent allé, je me suis trouvé en oposition, et en minorité dans ces organisations. J’étais alors sur une ligne dite « italienne », ou Gramscienne, j’ai d’ailleurs créé l’Institut Gramsci a 20 ans et organisé le départ de Belrin Est de nombre d’opposants. J’admets que du point de vue extérieur, surtout pour ceux qui étaient opposés au parti communiste, et souvent à juste raison, il devait être difficile de distinguer ces conflits. Mon opposition frontale au PCF à 23 ans environ et mon départ, car je n’ai pas été exclu, était logique. Il suivait d’ailleurs une évolution philosophique, ma rupture avec le marxisme, y compris dans sa version gramscienne, et une évolution spirituelle. La vie m’a apporté beaucoup, bonheurs et souffrances, comme tout un chacun. Et toi? Amicalement.